tag:blogger.com,1999:blog-8223067127694465050.post4221952187622133870..comments2015-11-01T09:42:01.613-08:00Comments on Blitzklik: Le piège médiatique de la taupe : quand la trahison devient un acte héroïqueAnonymoushttp://www.blogger.com/profile/13185229306213303376noreply@blogger.comBlogger3125tag:blogger.com,1999:blog-8223067127694465050.post-26680480763752572162012-09-12T02:25:57.649-07:002012-09-12T02:25:57.649-07:00Voici le lien du billet Du sensationnel à l'in...Voici le lien du billet Du sensationnel à l'invention, décomposition d'une manipulation : <br />http://blitzklik.blogspot.fr/2012/09/du-sensationnel-linvention.htmlAnonymoushttps://www.blogger.com/profile/13185229306213303376noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8223067127694465050.post-50600509103147037212012-09-12T02:22:41.534-07:002012-09-12T02:22:41.534-07:00Bonjour,
Merci pour votre commentaire. Je suis ent...Bonjour,<br />Merci pour votre commentaire. Je suis entièrement d'accord avec vous, l'environnement proche de l'internaute prend une grande importance dans son interprétation d'un évènement. Je vous concède aussi que l'expression de consommation de l'information est peut-être mal choisie.<br />Je partage votre vision d'un Internet libre, où chacun peut recouper ses sources et vérifier ses informations avec les parties prenantes. Cependant, cette vision reste pour moi très théorique et se substitue à une réalité où une partie des internautes (pas tous mais un nombre non négligeable tout de même) n'ont pas cette "éthique". Ne prenant pas de recul par rapport à l'information, ils vont la relayer, l'amplifier, la dégrader ou la tronquer pour finir par lui faire perdre tout le sens qu'elle avait au départ. Ce fabuleux outil qu'est l'Internet permet certainement une plus grande liberté de l'information (mais je n'en suis pas forcément totalement convaincu). Toutefois, il est aussi le vecteur d'un comportement empreint d'égocentrisme auquel le Web 2.0 et les réseaux sociaux ne sont pas étrangers. Pour ceux-ci, ce qui compte c'est surtout le nombre de followers, de re-tweets, ... qui jouent le rôle de faire-valoir social. Dans cette optique, c'est l'instantanéité, le sensationnel et l'information "enrobée" qui permettront d'améliorer leurs "stats". Je commentais une analyse que vous retrouverez sur ce billet : Du sensationnel à l'invention, décomposition d'une manipulation. Je vous invite à lire l'analyse en entier dont vous retrouverez le lien au début du billet. Même si l'information était déjà dégradée au préalable, vous y remarquerez que nombre d'Internautes n'avait même pas pris le temps de lire l'article en lui-même tant l'information a changé de visage de tweets en tweets. Ils n'avaient pas non plus pris le temps de vérifier les sources, recouper l'information, … Et c'est un journaliste de l'AFP qui a fini par le faire.<br />Ce phénomène m'amène à penser que les techniques d'influence existent mais que, dans certains cas, notre société de l'information s'influence elle-même à travers ces comportements, sans qu'il y ait un marionnettiste derrière chaque communauté.Anonymoushttps://www.blogger.com/profile/13185229306213303376noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8223067127694465050.post-92176755458300535522012-09-10T07:37:17.822-07:002012-09-10T07:37:17.822-07:00Contrairement à ce que vous dites, je ne pense pas...Contrairement à ce que vous dites, je ne pense pas que l’internaute « consomme » bêtement de l’information. <br />Ne serait on pas revenu à une tradition orale ou l’on apporte plus de crédit à nos proches, nos amis et les personnes faisant partie de notre communauté et ne serait on pas en train de quitter ou en tout cas plus défiant vis-à-vis d’un système de mass media centralisé et souvent manipulé. <br />La libération des mass media (ou l’impression de libération des mass media) permise par internet ne serait elle pas au contraire une avancée. L’internaute peut maintenant avoir des informations avant (ou du moins en même temps que) les journalistes. L’internaute peut, comme un journaliste, recouper ses sources ou facilement vérifier les informations en rentrant en contact directement avec les parties prenantes. L’internaute peut également directement discuter de l’information avec un expert du domaine faisant partie de son environnement plutôt que de ce fier à un journaliste qui enrobe et habille ce qu’une agence de presse à bien voulu lui raconter.<br />Les hackers et autres pirates ont également le sentiment de toute puissance face à cette technologie qu’ils maitrisent. Ils sont capables ou en tout cas se croient capables d’aller chercher la vérité là où elle se trouve (ce qui impossible à tous journalistes).<br />Pour conclure sur la manipulation on est passé d’une « fabrique du consentement de masse » (on gave des téléspectateurs hypnotisés) à des techniques d’influence de communauté… Ce qui doit rendre le travail des communicants un peu plus compliqué ;)<br />Anonymousnoreply@blogger.com